La transition énergétique:Une opportunité de valorisation des syndics

La transition énergétique est, selon David CHOURAQUI, président de Citya Belvia et de l’association Plurience qui regroupe les 13 plus grands cabinets d’administrations de biens en France, une opportunité de valorisation pour les syndics de copropriétés.

Pour l’association Plurience, La rénovation énergétique du parc immobilier collectif privé revêt un enjeu national majeur dont les solutions ne peuvent que s’inscrire dans la durée, aussi l’association entend elle apporter sa contribution à ce dossier d’où les 19 propositions faites aux pouvoirs publics.

Pour en savoir plus sur cette association dont le président David CHOURAQUI interviendra lors du colloque du 25 Mars 2016 à la Colle sur Loup dans les Alpes Maritimes, regardez l’interview accordée par celui ci sur le thème de l’audit  énergétique dans les copropriétés qui sera développé  lors du colloque:

Prenez connaissance des actualités du colloque « La copropriété à l’épreuve des lois ALUR et Macron » sur le site Procolloquium.eu

One Comment on “La transition énergétique:Une opportunité de valorisation des syndics”

  1. En effet la rénovation énergétique est exploitée déja par des syndics parisiens qui se dispensent d’appliquer l’article 2 de l’arrèté du 27 aout 2012 relatif à la répartition des frais de chauffage dans les immeubles collectifs à usage d’ habitation et mettent à l’odre du jour des assemblées annuelles l’installation obligatoire de répartiteurs de frais de chauffage ou de compteurs d’énérgie thermique, ceçi alors qu’ils n’ont pas vérifié si les copropriétés atteignaient ou dépassaient le seuil à partir duquel ces appareils sont obligatoires à partir du 31 décembre 2016.
    A Paris et en première couronne ainsi que dans toutes les centres des grandes villes les copropriétés construites jusq’en 1939 sont souvent de type haussmaniens et relativement peu énergivore parce que leurs murs sont très épais et que les immeubles sont mitoyens sur 2 cotés avec les immeubles voisins.
    Les copropriétés construites après 1980 sont également moins énergivores que celles construites pendant les 30 années précedentes.
    On peut dire que plus de 70% des copropriétés avec un chauffage collectif, échappent à l’obligation, ce que certains syndics se gardent bien de dire aux copropriétaires.
    Les calculs pour voir si une copropriété atteint ou non les seuils sont très
    faciles à faire et je conseille à tous les conseils syndicaux de se procurer sur Légifrance l’arrèté du 27 aout 2012 et de ne pas prendre de décision en assemblée tant que ces calculs ne sont pas faits.

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