Syndic+, pour un meilleur service des copropriétaires

Cette vidéo si besoin est, fait l’illustration des qualités que nous mettions en exergue dans le guide « Mon syndic de copropriété »  publé sur Amazon, à savoir notamment, la gestion de proximité, la necessité de développer la communication entre le syndic et ses mandants que sont les copropriétaires.

ET VOUS, Quelles qualités exigez vous de votre syndic?
Au niveau de la communication, quelles sont les moyens que vous jugez indispensables que votre syndic mette en place pour une meilleure gestion de votre immeuble?

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Ces commentaires permettront de mieux appréhender les moyens à mettre en place pour une meilleure relation syndic-copropriétaires

5 Comments on “Syndic+, pour un meilleur service des copropriétaires”

  1. Comme souvent dans ce genre de chose, le nouveau venu commence par critiquer tous ses confrères, partant sur de grandes certitudes sur l’incapacité des autres, et fini par accoucher de propositions qui n’ont rien de nouveau ! Ainsi, ce monsieur réinvente des services informatiques que proposent depuis longtemps SERGIC ou ORALIA et très probablement beaucoup d’autres.
    Il découvre que les contrats doivent être révisés régulièrement (le label Qualité Syndic l’imposait déjà il y a 15 ans).
    En conclusion de la vidéo, SYNDIC+ découvre qu’il faut s’installer près de ses clients ! Et pourquoi, à votre avis, tous les groupes ont créé des agences de proximité ?
    Mais tout cela ne serait rien s’il n’annonçait pas une énormité : « je laisse tout l’aspect terrain (travaux et entretien) à la charge de mes clients ». Comme service client on fait mieux, mais surtout c’est totalement contraire à l’article 18 de la loi 65, qui est pourtant d’ordre public !
    Attention, ce genre de syndic, il s’en créé tous les jours, ils découvrent la réalité du métier ou disparaissent en laissant une bien piètre image du syndic.

  2. Je crois que je n’ai pas tout compris
    – il me semble qu’avoir un compte séparé n’est que l’application de la loi (la loi du 13 décembre 2000 (dite «Loi SRU») qui modifie
    l’article 18 de la loi du 10 juillet 1965, et qui rend obligatoire le
    compte séparé par copropriété)
    – il me semble que si le contrat avec l’entreprise de ménage a été correctement établi et lu avant signature par le syndic ( à moins qu’un contrat d’entetien n’ait été établi avec un électricien, cela dépend de la copropriété) il ne doit pas y avoir de problème avec les ampoules .
    Et si problème il y a et qu’aucun copropriétaire dans l’immeuble n’en fait part au syndic, – le syndic n’habitant pas sur ne peut pas automatiquement savoir qu’à un instant T il y a une ampoule grillée non remplacée – cela ne peut pas être deviné.
    Mais un mail de quelques secondes d’information d’un copropriétaire au syndic peut permettre de régler rapidement cette situation
    car à moins d’un problème électrique les ampoules ne devraient pas être à changer toutes en même temps ……………
    Quant au logiciels il y a ceux acceptés par les caisses de garanties et les autres ……….

    1. Effectivement, toutes ces intentions sont louables, mais un bon
      syndic se juge (comme dans tout domaine), sur la durée…
      Regardez l’initiative de D4 immobilier à Marseille, je les ai rencontrés
      récemment, c’est bluffant : http://www.d4immobilier.fr/index.html.
      J’ai constaté que la relation syndic/fournisseur/copropriétaire qu’ils
      ont mise au point est, à mon avis, annonciatrice du syndic des années 2015-2020….
      Et ça marche déjà!

  3. Un bon syndic respecterait scrupuleusement les dispositions législatives et réglementaires concernant la copropriété.
    Il exercerait sa mission de conseil de sa propre initiative et avec une honnêteté scrupuleuse ; même dans les situations où indiquer la règle ne servirait pas son intérêt.
    Il commenterait tous les coûts de son contrat en A.G.
    Ce contrat inclurait dans la rémunération forfaitaire absolument toutes les missions définissant le métier de syndic, dites en conséquence désormais souvent « invariables ». Seraient notamment concernées, car obligatoires, l’A.G.O. et son C.S. préparatoire, la tenue d’un carnet d’entretien à jour et régulier, l’installation d’une assurance du (ou des) immeuble(s), qui ne puisse être contestée, l’attention aux comptes telle qu’il n’y ait jamais occasion(s) de frais bancaires autres que les éventuels contractuels, etc.
    Certes ces conditions de contrat devraient être rémunérées à une juste valeur et c’est pourquoi le syndic devrait initier une réelle négociation sur ses prix lors de l’A.G.O., étant bien expliqué que pour de tels engagements tenus, le forfait pourrait être accepté bien majoré par rapport à ce qui se pratique couramment. Ainsi il ne paraîtrait pas du tout exorbitant d’une moyenne de 50€ par mois et par lot pour une pareille gestion consciencieuse. (Pour exemple sur 10 lots : 50 x 10 x 12 = 6000€).

    C’étaient là quelques illustrations d’une optique sur le sujet qui pourrait être bien plus longuement développée et précisée.

  4. Il faut savoir que derrière cette société se trouve le GROUPE FONCIA, actionnaire à hauteur de 33,34% des parts, après avoir injecté plus de 2,5 millions d’euros en 2012. Réellement transparent ?
    Il ne s’agit donc que d’un discours marketing, où on « enfonce » entre autres sans le dire le N°1 français, alors que ce même N°1 se cache parmi les actionnaires.
    Il suffit de rechercher « syndic plus » sur Google pour pouvoir maintenant disposer de cette information sur notre site…

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