Le magazine Capital dénonce les syndics "voleurs"

Le magazine Capital dénonce les syndics "voleurs"

Le magazine Capital dénonce les syndics « voleurs »

Le magazine Capital dans l’éditorial  du numéro de septembre de son rédacteur en chef, François Genthial, parle d’un coup de balai qui rapporterait gros au gouvernement, comme devrait le révéler l’enquête menée par un dénommé Philippe ELIAKIM, sur les « professions qui abusent ».

Devinez quoi:

Dans la liste des professions précitées, les syndics sont en bonne place et le rédacteur en chef  de poursuivre dans son éditorial:

Du garagiste bidouilleur au ­plombier arnaqueur, en passant par le ­syndic voleur, nous levons le voile sur ces secteurs non délocalisables, où l’industrie chinoise n’est pas là pour tirer les prix vers le bas. Alors prospèrent rentes de situation et ententes tacites.”

Comme il est de coutume, les investigations de ces Grands Journalistes consistent bien sûr à reprendre comme argent comptant, les informations fournies par notre bonne vieille association de l’ARC, qui bien sûr n’ a pas manqué dans un article du 4.09.2014, publié sur son site, intitulé:” Le Mensuel CAPITAL, l’ARC et les problèmes de syndics et de copropriétés” de reproduire de larges extraits de la fameuse enquête, pour laquelle elle est la principale source et toute heureuse de la publicité à moindre coût que lui offre sur un plateau le dit mensuel.

Ainsi on semble se  trouver dans une situation Gagnant-Gagnant, entre un mensuel qui à moindre effort produit de l’information “bankable” et une association qui devant le peu de réactions des professionnels attaqués, poursuit son action de discrédit  systématique d’une profession avec la stratégie éprouvée de faire de cas isolés des généralités, tout en bénéficiant d’une couverture médiatique conséquente.

Devant cette  nouvelle attaque en règle de la profession, il y a lieu pour rétablir un certain équilibre, de faire état de l’article publié sur le blog de Malik Bachammar intitulé “Humilier les syndics, ça suffit” dans lequel l’auteur témoigne d’expériences positives qu’il a vécu au contact de syndics.

Dans la mesure où l’ARC semble être la source principale des journalistes, il y a lieu de vérifier si les informations de la dite association sont aussi fiables que veut le faire croire cette dernière, d’autant plus que nous avons connaissance de certaines pratiques de l’ARC qui n’hésite pas à manipuler certaines informations pour faire valoir des positions qu’elle soutient.

Comme l’a proposé l’ARC, à la fin  de son article du 4.09.2014, donnant rendez vous à son lectorat pour la suite à donner au dit article, nous vous  donnons nous aussi, rendez vous dans un prochain article ayant pour objet  le résultat d’ investigations que nous allons mener concernant des pratiques de l’association qui aurait, selon les informations  qui nous ont été rapportées, créer de  » fausses enquêtes éclair » pour faire prévaloir ses positions.

En attendant la publication de cet article, ne pensez vous pas qu’il serait temps que cessent ces accusations discréditant le métier de syndic d’autant plus que celles ci ont comme base des contenus prêts à l’emploi, produits par une source dont la fiabilité reste perfectible?

Votre avis m’intéresse, merci de me le faire connaitre en laissant votre commentaire au bas du présent article.

15 Comments on “Le magazine Capital dénonce les syndics "voleurs"”

  1. Une provocation du magazine CAPITAL orchestrée par l’ARC ?

    Nos réactions de copropriétaires

    Au sein de certaines associations, nous avons attirés l’attention des administrations et de la classe politique, sur les dysfonctionnements chroniques et délits manifestent (non application de la Loi Hoguet, contournement de la Loi Bonnemaison), cela sans réaction des administrations : DDPP, et DRCCF, bureaux des professions immobilières, services des procureurs :

    Pour l’efficience et la quiétude 24 h sur 24 dans nos immeubles et pour et la bonne gestion de nos appartements, il faut au contraire réconcilier les copropriétaires (8 000 000) avec des professionnels d’agences immobilières (plusieurs milliers d’interlocuteurs le plus souvent indispensables car le copropriétaire syndic n’est pas la panacée !)cela au vu des dysfonctionnements chroniques dans la lutte contre la fraude des administrations qui sont tues par les principales associations de défense des consommateurs. 5 mesures sont nécessaires et il faut aujourd’hui que les professionnels de l’immobilier s’en emparent et poussent les politiciens, les administrations qui restent sourdes ou négationnistes à les appliquer rapidement,

    1 / Suppressions de la distribution des cartes et sous cartes de gestion immobilière par les bureaux des professions immobilières des Préfectures. Remplacement de la carte « personne morale » agence immobilière par une carte nominative de syndic.

    2 / Sanctionner les professionnels des banques complices des dirigeants des agences immobilières quand ils détournent la loi Bonnemaison en créant des comptes individualisés de syndicat en lieu et place de vrais comptes séparés de syndicats de copropriétés

    3 / Hors situations urgentes ou charges financières à récupérer, sanctionner les avocats intervenant sans mandat réel du syndicat ou des membres du conseil syndical

    4 / Rendre possible l’accès des documents de gestion du syndicat à tous les copropriétaires et non aux seuls membres du conseil syndical, moyennant par exemple un coût par feuille ou par heure de taches et cela quel que soit le moment de l’année. En attendant une gestion en ligne et un carnet CET accessible bien rempli !

    5 / En cas de dépréciation des biens privés ou communs au syndicat constaté par un copropriétaire par la faute d’une mauvaise gestion du mandataire, gestionnaire de la copropriété trouver une procédure simplifiée, rapide et efficace de réparation des préjudices ou d’indemnisation sans passer par des procédures par avocats et mise en cause du syndicat.

    1 / Les cinq mesures indispensables pour mettre fin aux abus de confiance et abus de droits en copropriété (Site Droits et Libertés)
    http://www.droitsetlibertes.fr/2014/01/propositions-une-reforme-des-regles-sur-la-copropriete/

    2 / Les cinq mesures indispensables contre les abus de droits en copropriété ADUA (site Association d’Entraide des Usagers des Administrations publics et privées)
    http://www.adua.com/2014/09/06/les-cinq-mesures-indispensables-contre-les-abus-de-droits-en-coproprit-adua/

    Faire suivre

    Sur le site viadeo
    http://www.viadeo.com/fr/groups/detaildiscussion/?containerId=0021guonnqr6574&forumId=002k34ta36a6ctx&action=messageDetail&messageId=00219gzdtm74ont9

  2. Merci d’avoir fait le relais de cet article « Humilier les syndics, ça suffit ». Très intéressant !
    Connaissant le côté « défense des copropriétaires » et également le métier de l’intérieur, je prévois de témoigner de la fierté d’exercer en tant que syndic, et de la qualité et des compétences de la majorité. Il faut que les syndics prennent le temps de témoigner et faire passer des messages, et que chacun prenne un peu de son temps en ce sens.

  3. Notre profession d’agent immobilier dans son ensemble souffre de ses brebis galeuses qui jettent l’opprobre sur nous tous.
    La seule solution est un organe de contrôle ( ordre) fort et impartial. Le conseil créé est une première étape.
    La DDPP qui est en charge de contrôler notre profession n’est pas assez nombreuse sur le terrain et trop d’abus passent à travers des mailles.
    Le salut viendra de nous !

  4. Quel est le véritable voleur ?
    Le syndic qui travaille 10 à 12 heures par jour à l’époque des 35 heures ?
    OU
    Celui qui se dit journaliste en faisant un copier-coller d’un site anti-syndics ?

  5. Une fois encore les Syndics ont bon dos…

    Comme on peut le voir, CAPITAL tape une fois de plus sur les professions « obligatoires » (Syndics, notaires, plombier, électricien et j’en passe) pour dénoncer un abus dans leurs tarifs.

    Je ne connais pas une profession où les brebis galeuses n’existent pas. Du policier au boulanger, du garagiste au dentiste ou encore du courtier à l’homme politique, pas un métier où une profession n’est à l’abri de personnes malfaisantes. Les médias nous en apportent la preuve au quotidien. Néanmoins ces chers journalistes (forcément intègres et dénués de tout intérêt) n’hésitent pas à taper sur tout ce qui va faire vendre leur canard même si cela est au détriment des autres professions.
    Imaginez demain un journal dénonçant les journalistes et articles véreux…Vous verriez ce que c’est qu’une profession qui s’indigne de telles calomnies !

    Concernant le métier de Syndic, la réalité est que ce métier est toujours aussi méconnu et que la perception qu’on les copropriétaires est toujours celle d’un « impôt » supplémentaire dont il pourrait se passer.
    Après tout, à quoi sert le Syndic ? Appeler des fonds, le plombier si besoin est et faire une assemblée ou personne ne vient. « Moi aussi je peux le faire ! »

    Cette image est celle défendue par l’ARC, nos chers amis journalistes, de nombreux copropriétaires et une ancienne ministre dont la loi qui n’avait pas plus d’allure que de nom a été balayée par le nouveau gouvernement.
    A défaut d’avoir compris d’autres choses, il aura au moins saisi que cette loi aurait fait bien plus de dégâts qu’elle n’aurait apportée de solutions. Mais n’oubliez pas que le fond de l’histoire était purement et simplement de remplacer les lobbies pour créer les leurs…

    La réaction des copropriétaires soumise par Alain LE HYARIC est bien la preuve de la méconnaissance de ce métier et la confusion des genres.

    1°) La carte professionnelle pour les Syndics est délivrée par la Préfecture de Police, la profession d’agent immobilier n’en exige aucune. En revanche, la profession exige que le professionnel soit assuré auprès d’une caisse de garantie. Depuis peu, plus d’exigence de coté là pour les transactions des agents immobiliers.

    2) En effet, il serait bon de pouvoir tirer les oreilles des banquiers qui n’ouvrent pas de vrais comptes bancaires séparés. En même temps, ne rêvons pas, ils trouveront bien une solution pour contourner ce problème.

    3) Il n’est pas possible pour un avocat d’intervenir au nom du SDC si il n’a pas été nommé lors d’une assemblée générale ordinaire ou spéciale. De ce coté, c’est plutôt dans les C.S qu’il faut faire du ménage…

    4 ) Les documents d’une copropriété sont visibles par tous les copropriétaires sur simple demande auprès de leur Syndic. Prenez rendez-vous avec votre Syndic, il à l’obligation de mettre à votre disposition tous les documents : factures, relevés de compte de la copra, dossier d’assurances, contrats… La aussi, les Président de C.S devraient être étudiés de plus près par nos amis journalistes. Ainsi ils pourraient faire des articles fondés sur les droits et devoirs des copropriétaires et Président de C.S.

    5) Qu’entendez vous par dépréciation ? S’il s’agit de la dépréciation de la valeur immobilière, le Syndic n’y est pou rien. Ce n’est pas lui qui fixe les prix de l’immobilier. Peut-être entendez vous par là, les dégradations de l’immeuble. Je vous rappelle que ce sont les habitants qui en ont l’utilisation. Les dégradations perpétrées dans un immeuble ne sont pas de sont fait. Son rôle est de faire des devis pour proposer une remise en état des parties dégradées et, suivant les montants, de les soumettre au C.S ou dans une question lors d’une assemblée pour valider les travaux. En revanche, un syndic qui n’appelle pas le plombier pour qu’il vienne réparer une fuite dans les parties COMMUNES est en effet en faute. Mais dans tel cas et surtout si le problème est récurrent, il faut changer de crémerie et ne pas attendre 10 ans, comme on le voit parfois, pour réagir.

    Comme le souligne Véronique FAVELIN, un bon Syndic fait aisément les 35 heures en deux jours, un pseudo journaliste fait un article avec des copier/coller. Malheureusement, le journaliste sera bien plus rémunéré et récompensé pour un travail bâclé et qui pourrit toute une profession, qu’un Syndic qui fait bien son boulot et dont la reconnaissance est proche de zéro. Mais CA, on en parle pas…

    Les vrais professionnels sont tous d’accord pour dire que bien des choses pourrait être faites pour améliorer l’image de cette profession. Une chambre des métiers, un ordre ou un syndicat est déjà un bon départ,
    La création d’une commission de contrôle de la profession en serait une autre. La formation professionnelle continue également car c’est comme le code de la route, les choses évoluent avec le temps et de temps à autre, un petit rappel ne fait pas de mal.Bref, des solutions peuvent être mises en place si on le souhaite mais encore faut il le vouloir… Croyez vous que les lobbies tel que Fonceparlà, Prochaineville ou encore Lesbois accepteraient que l’on viennent mettre le nez dans leurs gestion ? J’en doute.
    Et quand bien même, des choses seraient en place, il y aura toujours des brebis galeuses et ce, dans toutes les professions même celles déjà réglementées.

    Alors plutôt que de se baser sur des articles douteux, les copropriétaires feraient mieux de se renseigner par eux même auprès de VRAIS professionnels où par le bouche à oreilles qui généralement apporte plus son lot de vérité qu’un magasine payant dont le seul but est de faire du tirage pour gagner de l’argent sur le dos de pauvres gens crédules devant un gros titre.

  6. J’ai lu cet article dans le magazine capital ! et je suis contente que des magazines dénonces ces actes de truanderies !

    Je me suis fait voler par mon syndic pendant 5 ans ! J’estime mes pertes à 5 000 €. Je suis beaucoup plus tranquille depuis que j’ai acheté une maison.

  7. commencez donc à créer un organe pour que vos brebis galeuses (et il y en a beaucoup) soient listées et vous redorerez votre image.
    Notre SDC est aujourd’hui en situation de faillite à cause de deux Syndics véreux et le mot est faible) qui de plus sont condescendants. L’un d’entre faisant partie d’un grand groupe national ……

    Votre réputation ne sera rétablie que lorsque vous aurez fait le ménage dans votre « bergerie » et là croyez-moi vous aurez bcp de travail.

    HEUREUSEMENT !! nous avons fini par trouver un petit syndic très sérieux, la perle rare ou l’exception qui confirme……..

  8. tout à fait d’accord avec capital, les syndics s’engraissent sans vergogne
    sur le dos des copropriétaires avec des techniques toujours à la limite du légal; c’est littéralement honteux : la preuve c’est que les cabinets de syndics attisent les convoitises et finissent rachetés par des grands groupes: foncia, nexity …. Il serait temps de controler et de légiférer

  9. Syndic Aliste,

    Je comprends votre mécontentement, vous êtes certainement un des très rares syndic sérieux dans ce panier de crabes.
    Oui durant des décennies les syndics (pas tous) se sont accaparés du pouvoir abandonnés certes par les copropriétaires.
    Vous êtes nombreux à vous croire plus intelligents, à avoir la science infuse et nombreux à vous moquer des copropriétaires…circulez, vous n’y comprenez rien, il n’y a rien à voir par ici……

    Aujourd’hui les copropriétaires commencent à devenir adultes et à se prendre en charge et….celà vous déplait forcément…vous ne pouvez plus faire la pluie et le beau temps.

    Je vous l’ai déjà dit créez un organisme sérieux qui mette à l’index vos brebis galeuses en les blacklistant afin qu’elles ne nuisent plus et votre image sera meilleure.

    A agir comme vous agissez vous n’êtes que contreproductifs et monterez encore plus les copropriétaires contre votre profession.

    Bien cordialement quand même

  10. Je suis complètement arnaque, maltraité ,menacé par le syndic qui gère mon immeuble avec l’accord du conseil
    syndical.
    Il y a toujours eu des amitiés entre le conseil syndical et les syndics et aujourd’hui pour un 2 pièces j’aurai
    payé depuis l’arrivée de Nexity pratiquement 5000euros de charge surtout du chauffage pour l’année.
    Les chaudiéres sont sur le toit et les tuyaux décendent pour remonter et dans chaque appartement sauf en
    dernier étage les gens sont pratiquement chauffé par les tuyaux ils n’ouvrent pratiquement jamais leurs
    radiateurs et un appartement mesurant le double du mien paient très peu……
    Je vais saisir la justice,mais j’aimerai que cette histoire soit médiatisé pour que cesse ces abus de syndics et
    conseil syndical.J’ai toutes les preuves.Bidellat Nathalie.

  11. Bonjour,

    Je suis membre du conseil syndical de mon immeuble. Il y a 1 mois, nous avons relevé des irrégularités dans les comptes (travaux facturés mais non réalisés, honoraires supérieur aux engagement précédents…). Nous avons donc demandé des explications. Depuis notre demande, le syndic refuse de nous parler… Nous n’avons toujours pas trouvé de voies légales afin de régulariser la situation…

  12. Bonjour,

    Il existe surement et heureusement des syndics corrects,.

    Mais je nen suis plus aussi convaincue depuis notre arrivee a Nice dans une Petite copropriete geree dabord par un syndic ayant pignon sur rue puis par un autre. Autrement dit cetait « changer la peste pour le Cholera ».

    Je suis au conseil syndical et tout est fait pour m’evincer et me mettre de cote parce que je cherche a savoir ce qui se passe dans les comptes. Je ne vais pas faire ici le detail de toutes les malversations et les insultes de ce syndic incorrect. Je vous en dirai plus une fois les administrations competentes saisies.

  13. Cher SyndicAliste,

    Il est aisé de comprendre votre mécontentement si effectivement vous faites votre travail sérieusement et dans le but de satisfaire votre clientèle.

    Cependant il faut bien comprendre qui est la cible de ce genre d’article. A mon avis, il s’agit des syndics qui abusent et qui fournissent des prestations très douteuses pour un prix déraisonnable et non des personnes qui travaillent de façon correcte. Comme cela a été dit dans d’autres commentaires, c’est l’ensemble de la profession qui souffre de la mauvaise réputation de certains cabinets (malheureusement très nombreux). Cela dit, il ne faut pas surestimer l’importance de ces articles, le consommateur n’est pas débile, il saura vite faire la différence entre des professionnels compétents et les autres, qu’il ait lu l’article ou pas.

    J’ai le même problème en tant qu’assureur: j’essaye de travailler de mon mieux, en défendant les intérêts des mes clients au mieux face aux logiques (parfois fort stupides) de rentabilité maximale dictées par les compagnies. Il ne faut cependant pas nier la vérité; il n’y a pas de fumée sans feu. Si les assureurs ont si mauvaise réputation c’est qu’ils l’ont bien cherché. Encore aujourd’hui les cabinets d’assurances véreux sont légions.

    Alors quand vous dites: « un bon Syndic fait aisément les 35 heures en deux jours, un pseudo journaliste fait un article avec des copier/coller » cela me semble être de très mauvaise foi. Je n’ai jamais vu de syndic (ni même aucun professionnel) aligner des journées de 17,5h en France… et, alors même que vous criez au scandale car les méchants journalistes font de certains cas une généralité, vous faites de même avec eux… : »Néanmoins ces chers journalistes (forcément intègres et dénués de tout intérêt) n’hésitent pas à taper sur tout ce qui va faire vendre leur canard même si cela est au détriment des autres professions. »

    Nous avons aujourd’hui beaucoup trop tendance à nous défendre uniquement en attaquant celui qui nous accuse, exemple : « Je ne répondrai pas à vos question Madame Elise Lucet car vos journalistes ont des méthodes de voyoux ». Répondre comme cela, pour moi, revient finalement à faire un gros doigt d’honneur à celui qui souffre réellement de ces pratiques: le consommateur (ou le copro dans notre cas)

    Alors oui, bien sur qu’il y a (et fort heureusement) encore des professionnels qui font leurs boulots avec intégrité, qu’ils soient syndic, journalistes ou autre, mais cela n’empêche pas le fait qu’il faille traquer et condamner les escrocs, mêmes si leurs affaires sont révélées par un journaliste qui écrit avec l’unique volonté de vendre son canard. Cela n’efface en rien les fautes commises.

  14. Après analyse, notre expérience professionnelle, nous a conduit aux constats suivants :
    • différentes cultures et intérêts entre, Propriétaires résidants, et Propriétaires bailleurs,
    • différentes cultures et intérêts entre, Conseil syndical et syndic gestionnaire de la copropriété.

    Ces faits nous ont amené à considérer, qu’il n’y a qu’un pas entre ces rendez-vous manqué, qu’à la fin, il n’y a aucun gagnant, mais bien que des perdants.
    La réglementation, les réformes, les lois les décrets, les jurisprudences, etc. n’arrange rien, sinon accroître les tensions.
    En Economie, face au contexte, nos préceptes, sont les suivants :
    • Savoir investir pour dépenser moins,
    • Investir plus pour dépenser moins.

  15. Bonjour,
    Pour le moment j’ai eu affaire à deux syndic, le premier a fini par claquer la porte plutôt que de présenter TOUTES les pièces nécessaires à un contrôle des comptes de la copropriété.
    Un autre syndic a été élu, je demande ces pièces et il refuse également, je saisis un avocat à mes frais qui met les 2 syndic en demeure, rien à faire, mon avocat les assigne.
    Le syndic prend un avocat aux frais du syndicat, qui a coûté 4 800€ à la copropriété, pour ne pas présenter des pièces comptables qui n’auraient rien coûtés à personne.
    L’avocat a plaidé sur le fait que j’avais des intentions obscures, alors qu’aucun élément n’a été présenté au tribunal prouvant ces graves accusations, j’ai été injustement condamnée, juste pour avoir tenté de mettre ma bonne volonté au service d’une copropriété ou j’habite depuis dix ans, où les comptes n’ont JAMAIS été présentées.
    Alors je suis en droit de m’interroger, à quoi servent les lois «  article 21 de la loi du 10 juillet 1965, saisi dans cette affaire » si un avocat va évoquer ce type d’aberration et surtout pris au sérieux.

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