L’étude FNAIM « risée » de l’ARC

Une étude de la FNAIM qui fait doucement sourire”, tel est le titre d’un nouvel article de l’ARC publié sur son site qui émet des fortes réserves sur le sérieux de l’étude réalisée par la FNAIM, commandée à l’IFOP (institut de sondage) pour connaitre le baromètre de confiance à l’égard de la profession immobilière

Le sondage contesté de la FNAIM

Lors de son dernier congrès annuel, l’étude commandée par la FNAIM indiquait selon l’ARC que:

– 69 % des personnes interrogées font “tout à fait confiance” ou “plutôt confiance” aux professionnels de l’immobilier

-54% des personnes interrogées opteraient pour un syndic bénévole avec comme principal argument, un gain économique. Par déduction selon l’ARC 46%  des personnes interrogées devraient opter pour le concours d’un syndic professionnel et on ne sait, précise l’ARC, comment l’étude fait état d’un pourcentage de 75%

Par ailleurs souligne l’ARC, cette étude a été réalisée sur un échantillon de 1001 personnes âgées de 25 à 75 ans et ayant eu un contact avec un professionnel de l’immobilier au cours des cinq dernières années.

Pour l’ARC: “au delà du fait que cette étude a été menée uniquement sur 1001 personnes pour présenter des conclusions qui concernent plus de 7 millions de copropriétaires, ce questionnaire a été réalisé auprès de personnes ayant, de manière indifférente, été en contact avec un syndic ou une agence immobilière au cours des cinq dernières années. Autant comparer des choux avec des carottes, d’autant plus que depuis les 5 dernières années certains doivent un peu pourris!”

Et l’ARC de conclure sans ambages: “ Chacun pensera ce qu’il veut de cette étude, pour nous elle n’a aucun sens, ni aucune cohérence.”

Pour ma part je dis chapeau bas à l’ARC.

Comment une association qui en 2013, sur la base d’une enquête “éclair”,  a adressé un rapport au Ministère du Logement faisant état des 1726 réponses ,correspondant selon elle à 13%  de l’ensemble de ses adhérents et de préciser  que ces réponses nonobstant leur nombre peu important, constituait un sondage significatif compte tenu du grand nombre des adhérents non concernés par les ascenseurs et compte tenu de la période au cours de laquelle fût réalisée l’enquête « éclair »(voir article “Opération transparence proposée à l’ARC”) peut elle se positionner en donneuse de leçons?

L’ARC comme elle l’indique par ailleurs, dans son article a pu remonter aux sources du sondage commandé par la FNAIM à l’IFOP en allant vérifier sur le site internet de l’IFOP les modalités de réalisation de la dite étude.

Par contre nous attendons toujours les modalités de réalisation du  “faux sondage éclair” réalisé par l’ARC concernant le dossier précité.

Cherchez l’erreur!!!!

 

Les recommandations de l’ARC à la FNAIM

 

l’ARC convaincue qu’elle est le centre névralgique de la copropriété, le point de passage obligé de tout ce qui tourne autour de la copropriété propose aux chambres syndicales ainsi qu’à l’association Plurience qui regroupe les grands cabinets de syndics, de partager un projet intéressant consistant en la réalisation d’une étude “sérieuse” sur la satisfaction et les attentes des copropriétaires vis à vis de leurs syndics.

Et celle ci, avec la mégalomanie qui la caractérise, d’ajouter avoir fait en ce sens un courrier aux instances précitées en leur indiquant notamment:

je tiens à vous préciser  que, pour notre part, nous réaliserons cette étude avec ou sans votre participation auprès d’un institut de sondage indépendant, sur la base de questions et de choix clairement définis.”

A mon humble avis, ni la FNAIM, ni Plurience n’ont besoin de l’ARC pour réaliser des études “sérieuses” afin de recueillir le sentiment, la satisfaction et les attentes des mandants de leurs membres.

Par contre il appartient à ces professionnels de tout mettre en place en vue de donner satisfaction à leurs clients afin comme le reconnait l’ARC au début de son article :”de se poser la question de savoir si son objet social a encore lieu d’être, puisque tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes entre syndics et copropriétaires.”

Aussi Mesdames et Messieurs les syndics, pour cette année 2016 qui commence, prenons comme résolutions nonobstant les nombreuses contraintes résultant du mille-feuille de dispositions réglementaires régissant notre profession, la mauvaise réputation qu’à ce jour encore notre métier pâtit et sur laquelle certains comptent pour assurer leur fonds de commerce, de néanmoins renforcer encore et encore la satisfaction client comme objectif final de notre activité.

12 Comments on “L’étude FNAIM « risée » de l’ARC”

  1. Déjà le sigle laisse un drôle d’arrière goût, c’est avant tout nauséeux !!! Plutôt que de chercher la paille ils feraient mieux d’employer leurs neurones à chercher un autre nom …..

  2. il faut mépriser une grande partie des statistiques et sondages, qui, comme tout être sensé ne peut l’ignorer, sont faits , la plupart du temps, pour rassurer ceux qui les payent.
    Il y a les petits mensonges, les grands mensonges et les statistiques et sondages, c’est bien connu.
    Ceçi dit , il est toujours très intéréssant de consulter leurs cahiers des charges pour se faire une idée de la manière dont sont obtenus les chiffres qu’ils annoncent.
    Il y a bien d’autres exemples, en copropriété dont il faut se méfier, certaines publications grand public interrogent leurs lecteurs , certaines associations interrogent leurs adhérents et alors la, je préfère me taire.
    Éspérons qu’il n’y a pas trop de gogos pour croire tout ce qu’ils écrivent tellement les possibilités de trucages et d’interprétation des réponses sont énormes.
    Je ne fais pas de politique mais savez vous qu’en voulant former soi disant 500.00 chomeurs en recherche d’emploi, ils vont ètr sortis des statistiques du chomage.
    c’est t’ y pas réjouissant tout cela!!!!!!!!!!!!!!!!

  3. L’ARC semble s’inspirer d’un modèle systématiquement contestataire, sensé représenter la « bonne pensée » qui dénoncerait « l’élite corrompue » (syndic=tous pourris).
    Cela existe au niveau de l’échiquier politique en France, l’ARC semble en utiliser les mêmes ressorts : défiance et dénigrement systématiques, provocation et surtout niveau de réflexion « au ras des pâquerettes ».
    Il y a sans doute -encore- du chemin à faire mais la profession de syndic, que je suis au plus près depuis plus de 30 ans, a fait beaucoup de chemin dans le bon sens (souvent imposé, il est vrai par les évolutions réglementaires) est ne peut plus être assimilée à une profession de « voyous sans scrupules ».
    Cette vision, démago, est fausse et nuisible car elle arc-boute les positions et provoque l’inverse de ce qui est recherché.
    L’ARC gagnerait à faire émerger en son sein des dirigeants plus responsables, et disons-le, plus intelligents.
    Voeu pieux ?
    Elle devrait chasser en son sein les plus obnubilés par la détention de titres et de pouvoirs qui en font des interlocuteurs bornés, pathétiques et de mauvaise foi…
    Les syndics ne sont (dans leur très grande majorité) pas « tous pourris », les copropriétaires non plus, mais leurs représentants pourraient présenter un visage plus responsable et constructif (en dehors de l’ARC, il semble qu’il y ait peu d’autres voix structurées audibles).
    L’ARC pourrait, par exemple, soutenir le projet de transformation du statut de commerçant des syndics en profession libérale et promouvoir un « Ordre des syndics de copropriété ».
    Ce serait -aussi, et d’abord- , leur intérêt.

  4. Oui Mr. Lasry à l’idée d’un ordre des syndics de copropriétés mais à mon avis cela ne pourra arriver que lorsqu’ ils seront complètement transparents sur ce qu’ils font avec l’argent versé trimestriellement par tous les copropriétaires ( destiné à payer les fournisseurs) et que toutes les copropriétés sans exception auront l’obligation d’avoir un compte séparé sans aucune dispense possible.
    oui lorsque les syndics accepteront d’envoyer chaque mois au conseil syndical ( par mail) le duplicata du relevé mensuel de la banque, afin qu’il vérifie si les flux financiers sont normaux.
    Oui, lorsque chaque compte séparé sera doté d’un numéro spécifique afin que les virements et prélevements SEPA, ne passent pas d’abord par le numéro SEPA du compte du syndic qui attend quelques jours avant de transférer les sommes sur le compte séparé de la copropriété.
    oui lorsque les syndics auront chez eux un interlocuteur capable de répondre rapidement à un copropriétaire mécontent.
    Oui si un médiateur de la copropriété national est mis en place par les organisations professionnelles de syndics.
    j’espère que vous n’êtes pas assez naïf pour ne pas ètre au courant que c’est grace à des sommes d’argent qui ne leur appartiennent pas que de nombreux cabinets empruntent, que de nombreux cabinets, bénéficent de la part de leur banque, de conditions spécifiques plus ou moins secrètes ignorées par les copropriétaires.
    Etc…ETC..
    Ces mauvaise pratiques continuent et cela jette l’opprobre sur leur profession, qu’ils fassent le ménage.
    Quand à l’ARC, mon opinion est qu’elle doit aussi faire le ménage chez elle mais qu’hélas les membres du Conseil d’administration actuel n’en prennent pas le chemin, ceux qui étaient élus jusqu’en 2014 ont tenté de le faire et ont été virés pour cela.
    Dans une association de 12.000 membres, comme l’arc et avec quelques centaines de pouvoirs en blanc à l’assemblée, manipulés habilement, on gouverne et c’est malheureusement le cas dans de nombreuses associations vu l’absentéisme généralisé aux assemblées.
    Seules les très rares associations qui prévoient dans leurs statuts des dispositions pour évter cela ,y échappent.

  5. Quand on sait que le fond de commerce de l’ARC, c’est la défiance envers les professionnels, et que c’est ce qui les fait vivre, il y a tout lieu de relativiser leurs prises de position.
    L’ARC vit des cotisations de nombres de copropriétés gérées par des bénévoles à qui elle est supposé apporter toute l’aide dont ils ont besoin… Mais sans en assumer les responsabilités qui incombent à un professionnel. Elle a donc tout intérêt à maintenir cette partie de sa clientèle dans l’obsession qu’avoir recours à un syndic pro est une mauvaise solution .
    Et pour les copropriétés administrées par des professionnels et cependant adhérente de l’ARC . Celle-ci a la même objectivité, la même mesure et la même probité que que la CGT dans le monde syndical, qui comme on le sait, fait avancer le monde du travail …
    Quand on vit du conflit, on n’en cherche certes pas l’apaisement et on préfère souffler sur les braises pour en ranimer la flamme dans l’opinion publique.
    C’est effectivement aussi le travers de bien de nos politiques..

  6. Merci M. DESIR d’avoir lancé cette réflexion. Le nouveau « directeur général » imite bien son prédécesseur, M. DHONT doit être très fier de son protégé (qu’il ne jugeait pas capable à l’époque de reprendre l’association, puisqu’ayant été me recruter en me disant qu’il ne voyait absolument personne en interne pour lui succéder… bref !).
    L’ARC envoie un courrier à Plurience : vu le ton employé, ils font tout pour NE PAS avoir la moindre réponse, justement. Vu le peu de respect et de considération, l’ARC ne mérite même pas qu’on continue de s’intéresser à elle.

    J’ai explosé de rire en lisant l’article de l’ARC en question… parce que quand on sait comment ça fonctionne en interne, c’est l’hôpital qui se fout de la charité !!! Il n’y a pas un sondage ou rapport de l’ARC qui ne soit pas truqué ! Demandez-leur les pièces de leurs dernières études, par exemple sur le respect du contrat-type… que du pipeau chez eux ! Les autres associations comme l’UFC, la CLCV, … ont des personnes ou services qui savent comment faire des enquêtes ou sondages… pas à l’ARC.

    L’ARC a inventé de toutes pièces des enquêtes, dont celle sur la maintenance des ascenseurs, pour l’envoyer à plusieurs Ministères… et elle ose venir cracher sur la FNAIM !!!
    Mais que la FNAIM dénonce l’ARC concernant ses agissements, pour la décrédibiliser une bonne fois pour toute. Les syndicats et dirigeants des grands groupes sont décidément très (trop) gentils : ils ont maintenant toutes les billes nécessaires pour montrer ce qu’est véritablement l’ARC. Ils pourraient lui causer bien du tort. Mais malgré qu’ils soient critiqués et rués dans la boue depuis tant d’année, ils ne rendent pas la pareille. S’ils le faisaient, aïe. On dirait évidemment que ce ne serait pas bien d’attaquer une pauvre association à but non lucratif… ce serait « les méchants syndics contre la gentille association victime d’oser dire les choses tout haut » !

    Que les bonnes personnes et instances s’attachent à enfin mettre le nez dans les affaires de l’ARC… car ce n’est plus possible, ils franchissent les limites ! stop à un moment…

    Qui créer un site où l’on pourra y déposer tout ce que l’on sait sur l’ARC, histoire d’équilibrer un peu la balance ?

  7. Quel adhérent pourrait dire qu’il aurait reçu ce courrier ? Aucun, puisqu’il s’agit d’un faux.

    Paris, septembre 2013

    Objet : enquête sur la précision d’arrêt de votre ascenseur.

    Chers Adhérents,

    Comme vous le savez sans doute (voir notre site : http://www.unarc.fr/swa3), le Ministère du Logement vient de reporter la deuxième échéance concernant les travaux de sécurité des ascenseurs au 3 juillet 2014.

    En ce qui concerne la précision d’arrêt (mettre en place des dispositifs garantissant les deux centimètres de précision) le ministère a décidé un moratoire, c’est-à-dire une suspension pure et simple en attendant les résultats d’un groupe de travail (dont nous ferons partie) qui devra :

    – proposer des solutions techniques adaptées à l’appareil (la variation de fréquence n’étant qu’une solution parmi d’autres) ;
    – proposer éventuellement des évolutions réglementaires.

    Nous avons décidé de faire une « enquête-éclair » auprès de nos adhérents pour savoir :

    – où vous en êtes par rapport aux travaux ;
    – comment vous avez réglé – en ce qui vous concerne – le problème précis de la précision d’arrêt.

    Merci de bien vouloir aider votre association et remplir le questionnaire joint qui nous permettra de mieux analyser la situation et intervenir au sein du groupe de travail.

    Fernand CHAMPAVIER Marie Noëlle AMBLÉS

    Président de l’ARC Présidente de l’UNARC.

    P.J : questionnaire.

  8. SCOOP : la fausse enquête de l’ARC envoyée aux Ministères afin de mener à bien son intense lobbying.

    Résumé des réponses des adhérents aux questions A, B, C, de notre enquête interne de juillet-août 2013 et répartition en nombre et pourcentage

    Voici un résumé des réponses obtenues aux questions d’opinion A, B, C, de notre enquête interne, ceci en deux mois.

    Nous avons obtenu 1 726 réponses de conseils syndicaux et syndics bénévoles, ce qui représente 13 % de réponse par rapport à l’ensemble des syndicats de copropriétaires adhérents.

    Ce taux, qui peut paraître faible, ne l’est pas, compte-tenu :

    1) du grand nombre d’adhérents non concernés (sans ascenseur) ;
    2) de la période.

    A noter : l’ARC s’interdisant de créer un fichier « équipements » de ses adhérents, nous ne savons pas aà priori qui dispose ou non d’un ascenseur.

    Nous communiquons ci-après (pour chaque question) les différents types de réponses avec le nombre de réponses à chaque fois.

    Cette « enquête-éclair » laisse bien apparaître des tendances lourdes qui infirment certaines analyses.

    1. Cette enquête montre d’abord qu’il n’y a pratiquement aucun ressentiment de ceux qui ont fait les travaux même si certains regrettent de s’être laissés influencer par les professionnels.

    2. Elle révèle aussi une attente par rapport à des solutions raisonnables et adaptées.

    A. Question : « Vous avez fait procéder à tous les travaux obligatoires 2010 et 2013. Pensez-vous que le « moratoire » instauré sur la précision d’arrêt constitue une « prime au délinquant » comme l’ont écrit les ascensoristes dans leur communication ? »

    NB : 38 % des adhérents qui ont répondu ont fait faire des travaux, soit 1 174.

    • Premier type de réponse (57 %) :

    – « Non, c’est en toute connaissance de cause que nous avons décidé de réaliser tous les travaux tout en sachant que nous pourrions faire autrement, d’ailleurs non pas pour des raisons de sécurité en ce qui concerne la précision d’arrêt et la pose d’un variateur de fréquence, mais pour rénover les appareils ».

    En ce qui concerne ceux qui n’ont pas fait les travaux et ne les feront pas :
    o soit ont tort si effectivement ils ne peuvent obtenir une précision d’arrêt normale avec leur appareil actuel ;
    o soit ont raison s’ils y arrivent sans cela et n’ont pas les moyens, par ailleurs, d’engager une rénovation de leurs appareils pour le moment.

    • Deuxième type de réponse (31 %) :

    « Prime au délinquant », peut-être pas :

    – « On est un peu amer, c’est vrai, mais surtout on regrette de n’avoir pas mieux résister aux sollicitations des professionnels et d’avoir mis en place un système peut-être très sophistiqué, mais non indispensable dans notre cas ;

    – on ne pourra pas dire, néanmoins, que nous n’étions pas prévenus, tant les « alertes » ont été nombreuses… ».

    • Troisième type de réponse (12 %) :

    – « Nous avons consulté les spécialistes de l’ARC et fait appel à un bureau d’études référencé ; ils nous ont assuré que – dans notre cas – nous ne pourrions obtenir une bonne précision d’arrêt sans certains gros travaux. C’est pourquoi nous avons fait les travaux, mais en changeant d’ascensoriste et en renégociant les contrats ».

    B. Question : « Regrettez-vous d’avoir respecté la loi ? »

    • Premier type de réponse (69 %) :

    – « Non, pour les raisons précédentes évoquées (voir question A, premier et troisième type de réponse)

    • Deuxième type de réponse (31 %) :

    – « Oui, mais on regrette surtout que la loi initiale ait plus traduit les intérêts des ascensoristes que ceux des copropriétaires ».

    C. Question : « Vous n’avez pas fait les travaux ; pourquoi et qu’attendez du moratoire ? »

    NB : 32 % des adhérents qui ont répondu sont concernés.

    • Premier type de réponse (52 %) :

    – « Nous avons demandé des devis à notre ascensoriste, mais nous n’avons pas confiance. Nous attendons la fin de son contrat pour prendre un autre ascensoriste qui fera les travaux nécessaires ».

    • Deuxième type de réponse (48 %) :

    – « Nous avions l’information selon laquelle les travaux proposés n’étaient pas nécessaires.

    Nous attendons du moratoire que les critères soient assouplis ».

  9. OK avec vous M. Soupledur, compte séparé, n° ICS pour prélèvement SEPA propre au syndicat de copropriétaires qui est le créancier du cpte séparé. Il existe des docs de demande de prélèvements SEPA dont le nom du créancier est le Syndic, comment dans ce cas ne pas se poser de questions, oui au médiateur etc…

    Quant à M. FBO que la FNAIM commence par dénoncer les mauvais Syndics . Que chacun fasse son ménage.
    Quant aux « grands groupes qui sont (trop) gentils » effectivement pourquoi ne rendent-ils pas « la pareille » ? S’ils étaient « sans tache » mais oui qu’attendent-ils pour réagir ?
    Je pense que si la FNAIM faisait son ménage, on parlerait moins de l’ARC. Le code de déontologie où est-il ?

    Concernant les sondages, d’où qu’ils viennent je suis toujours très prudent, Le meilleur des sondages est le contact que les copropriétaires peuvent avoir avec d’autres copropriétés. Alors pour les nombreux contacts que j’ai et que j’ai pu avoir depuis de nombreuses années , ils ne sont pas très réjouissants sur la transparence de la gestion, l’honnêteté, des syndics et sont loin de refléter le chiffre de 69 % des coprop. qui seraient satisfaits !!!

  10. Voilà le courrier de l’ARC envoyé aux Chambres syndicales et Association Plurience

    « Monsieur,

    En tant que directeur général de la principale association représentative de syndicats de copropriétaires – comptant 14000 immeubles – nous souhaitons, avec votre chambre professionnelle, réaliser une enquête commune et partagée afin d’étudier la satisfaction et les attentes des copropriétaires vis-à-vis de leur syndic.

    En effet, nous avons pris connaissance de l’étude réalisée auprès de l’institut de sondage IFOP concernant la confiance à l’égard des professionnels de l’immobilier, qui nous laisse cependant pour le moins perplexes.

    Et pour cause, selon les éléments indiqués sur le site internet de l’IFOP, cette étude a été réalisée sur 1001 personnes, sans distinguer s’il s’agit de copropriétaires ou de locataires ou encore sans savoir sur quel « type » de professionnels ils répondent.

    Nous vous proposons donc de convenir, de manière concertée, de la réalisation d’une enquête que nous réaliserons sur l’ensemble du territoire français afin d’avoir une véritable visibilité sur la satisfaction et les attentes des copropriétaires vis-à-vis de leur syndic.

    Vous pouvez, comme à votre habitude, ne pas répondre aux sollicitations de l’ARC ou bien saisir cette opportunité pour « redorer » l’image de la profession d’administrateurs de biens.

    Je tiens à vous préciser que, pour notre part, nous réaliserons cette étude avec ou sans votre participation auprès d’un institut de sondage indépendant, sur la base de questions et de choix clairement définis.
    Nous vous invitons à répondre avant la fin du mois de janvier afin de pouvoir éventuellement commencer à travailler le plus tôt possible sur l’élaboration du questionnaire.

    Nous restons à votre disposition pour en discuter et vous prions de recevoir, Monsieur, nos salutations distinguées.»

  11. « En tant que directeur général de la principale association représentative de syndicats de copropriétaires – comptant 14000 immeubles » : un autre énorme mensonge.
    Même pas 9.000…

  12. Très drôle de voir le nombre scrupuleux professionnels sans reproches totalement effarouchés par l’ARC.

    C’est vrai que l’ARC c’est rien que des méchants qui ne font que s’en prendre à des gentils syndics totalement honnêtes, vertueux et efficace.

    D’ailleurs les copropriétés adhèrent à l’ARC parce que les membres des Conseils syndicaux sont stupides. S’ils savaient ces pauvres gens, comme l’ARC est malfaisante et comme les syndics sont vertueux.

    On se demande pourquoi tous les sondages révèlent une défiance grandissante envers les syndics.

    Les Français sont des veaux disait quelqu’un.

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